HS1
Biggles au cap Horn
¤ livre avec une jaquette et une couverture rouge, identique aux livres édités précédemment, a pourtant été édité pendant la période des livres avec une
couverture illustrée et ne s'intègre pas dans la numérotation de la Collection Captain W.E. Johns
Résumé :
- Le commodore Raymond, chef de la Police de l'Air rattaché à Scotland Yard, se renversa dans son fauteuil et, joignant le bout de ses doigts d'un geste familier, il dévisagea son chef pilote avec ce discret sourire que Biggles reconnut pour être annonciateur d'une question difficile, voire d'une mission plus difficile encore.
Biggles venait d'être appelé d'urgence. Il approcha une chaise du bureau, s'assit et prit une cigarette dans l'étui que lui tendait son chef.
-- Eh bien ! monsieur, cette affaire ? demanda-t-il sans enthousiasme. Je m'attends au pire.
-- Que diriez-vous d'une chasse au trésor !
-- Je déclarerais forfait.
-- Vraiment ! Pourquoi donc ?
-- Neuf fois sur dix, c'est se donner beaucoup de mal pour rien.
-- Ah ! bon. Alors, j'aimerais vous poser une autre question. Mieux que personne, vous connaissez Erich von Stalhein, n'est-ce pas ?
-- Il y a toutes chances, acquiesça Biggles d'un air résigné.
|
|
HS3
Biggles et les hommes léopards
¤ Livre avec une jaquette et une couverture rouge, identique aux livres édités précédemment, a pourtant été édité pendant la période des livres avec une
couverture illustrée et ne s'intègre pas dans la numérotation de la Collection Captain W.E. Johns
¤ Il est marqué 3 au dos , il devrait donc y avoir un livre (HS2) entre Biggles au Cap Horn et lui mais celui-ci n'a jamais été trouvé et n'existe probablement (surement) pas.
Résumé :
- L'affaire des Léopards deZinn avait été présentée à Biggles exactement une semaine auparavant dans le bureau de l'Air Commodore Raymond. Celui-ci avait convoqué son adjoint favori comme au début de chacune de ses missions et lui avait dit sans préambule :
-- Je voudrais que vous partiez en Afrique centrale aussitôt que possible.
Le visage de Biggles ne trahit aucune émotion.
-- Dois-je comprendre que c'est vous personnellement qui me priez d'y aller ?
-- Non. C'est le ministère des Colonies. On m'a demandé si nos services ne seraient pas capables de débrouiller une petite affaire qui donne actuellement du souci.
|